Texte à méditer :  Je ne peux pas changer les lois de la physique!   Scott

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Remerciements
Je tiens à remercier ici les personnes de bonne volonté qui m'ont aidée dans la création de ce site.

- MSZ-006C1, alias EHH, alias Cmdr TAKEDA Jun-Ichi, celui grâce à qui l'EIG a vu le jour, car je trouvais trop dommage que ces explications disparaissent à jamais.
- Benoît, pour sa liste de liens.
- Chief Dundee, créateur du logo que vous voyez en 1ère page de ce site.
- Manu_4BB9A, Optimus "Laurent" Prime, et Jean-Philippe, pour leur soutien en général et leur disponibilité dans le domaine dépannage informatique.
- Laurent "Aldweb", créateur de Miniportail sous lequel fonctionne ce site, pour la gentillesse et la rapidité avec laquelle il a bien voulu modifier ce dernier quelques jours à peine après la sortie de la version 2.3.
- Aux contributeurs du newsgroup nzn.fr.series.star-trek, pour leur soutien, en général.

(Que ceux que j'ai oubliés se fassent connaître, ce sera dû uniquement à ma cervelle d'oiseau et non au manque de reconnaissance.)

L'ennemi intérieur

   L'Amirale marchait dans les couloirs de la station 2501 d'un pas volontaire. Un très léger sourire trahissait l'amusement qu'elle ressentait en remarquant les regards étonnés que son passage provoquait. Elle était consciente qu'elle pouvait surprendre de trois façons différentes : elle était étrangère à la base, elle était amirale et ne s'était pas faite annoncer, et elle portait un uniforme rouge qui avait été abandonné depuis des années. L'Amirale se doutait bien que c'était ce dernier point qui provoquait le plus de réactions. En fouillant dans les archives de Starfleet, elle s'était aperçue que les différents textes qui avaient régi les changements d'uniformes avaient omis de stipuler l'abandon de celui qu'elle portait. En attendant que Starfleet remédie à la situation, l'Amirale l'arborait donc en toute légalité et jouissait pleinement de l'effet qu'elle faisait partout sur son passage.
   Un homme l'arrêta dans le couloir.
   - Pardon, Madame...
   - Oui, demanda l'Amirale d'une voix glaciale.
   Cet homme était un civil. La station 2501 était en effet une base "mixte" où se côtoyaient personnel de Starfleet et personnel civil de la Fédération.
   L'homme, un instant déconcerté par le ton de l'Amirale, se reprit :
   - Madame, votre tenue...
   - Mon uniforme, l'interrompit-elle, en insistant beaucoup plus qu'il n'aurait été nécessaire sur le mot "uniforme", est parfaitement réglementaire. Relisez donc le paragraphe 7 de l'article 8 du code A de Starfleet. Il n'a jamais été modifié. Maintenant, veuillez m'excuser.
   Laissant là l'homme sidéré, l'Amirale reprit d'un bon pas son chemin, sans lui laisser le temps de trouver une éventuelle réponse.
   Elle arriva au bout du couloir et prit l'escalier. Elle avait décidé d'éviter les turbolifts. La marche lui permettait de garder toute son énergie et, de l'énergie, elle en aurait besoin. Elle savait bien qu'il serait difficile de convaincre le personnel de cette station du danger qui le menaçait. Or, le temps manquait cruellement. Elle ne pouvait se permettre d'en perdre en vaines explications. Elle avait donc prévu une autre stratégie : puisqu'elle n'avait pas le temps de convaincre, elle ordonnerait. Elle savait bien que ces ordres-là ne seraient pas respectés facilement. Elle avait donc décidé de venir en personne, sans se faire annoncer, afin de bénéficier de l'effet de surprise. En bref, elle avait décidé de "foncer dans le tas". Une fois qu'elle aurait obtenu un "à vos ordres", peu importe les objections qui pourraient survenir, elle serait obéie. Il serait alors temps de fournir les explications nécessaires par transmission subspatiales. Son bureau les tenait prêtes. Mais il fallait que des mesures soient prises immédiatement, avant toute explication.
   Elle arriva devant la porte du bureau du directeur de la station. Un civil. Allez savoir pourquoi. Après toutes ces années dans Starfleet, elle n'avait toujours pas compris toutes les subtilités qui régissaient la gestion des bases stellaires. Celle-ci était située à la surface d'une planète, peut-être était-ce lié...
   Elle marqua une pause devant la porte en imitation bois, pour s'interroger une dernière fois. Etait-ce la meilleure des approches possibles ? Si le directeur de la base avait été un membre de Starfleet, la réponse aurait été immédiate : "oui". Mais, puisqu'il s'agissait d'un civil, est-ce qu'il ne fallait pas plutôt essayer de discuter ? d'expliquer ? Elle passa rapidement les différents éléments en revue. Non, elle n'avait pas le temps, il fallait aller vite. C'était le seul moyen. Sa décision ainsi prise, elle franchit la porte : plus rien ne pourrait l'arrêter.

 

   Les deux secrétaires essayèrent pourtant. L'Amirale ne prit même pas la peine de leur adresser un regard. Elle s'avança directement dans le bureau du directeur et les prit toutes deux de vitesse.
Le directeur étudiait des documents sur son écran. Il leva vers l'Amirale un visage éberlué.
   - Mais qu'est-ce...
   - Monsieur le Directeur, je suis désolée de faire ainsi intrusion dans votre bureau, mais nous n'avons pas de temps à perdre, dit l'Amirale en s'approchant.
   D'un geste rapide, elle éteignit le moniteur. Ce geste devait être un peu trop rapide : le directeur eut un mouvement de recul. L'Amirale se radoucit légèrement.
   - Je ne viens pas vous causer d'ennuis, si c'est ce qui vous inquiète. Je manque à toutes les règles de politesses, c'est vrai, mais votre administration de la base n'est pas en cause. J'ai seulement besoin de vous parler et cela ne peut pas attendre.
   Elle se tourna vers la porte par laquelle elle était entrée. Une des deux secrétaires attendait, sans savoir que faire.
   - Retournez à vos occupations. Et dites à votre collègue d'annuler l'appel à la sécurité, ce n'est pas nécessaire.
   La secrétaire regarda alternativement l'Amirale et le directeur, indécise. Pour bien montrer qu'elle n'exerçait aucun pression hors de celles accordées par sa fonction, l'Amirale détourna la tête et laissa le directeur et sa secrétaire communiquer par le regard.
   - Bien. Je serai à côté si vous avez besoin de moi.
   La porte refermée, l'Amirale se tourna à nouveau vers le directeur.
   - Monsieur, il se passe des choses graves. L'Empire Romulien est sur le point de mener une attaque contre la Fédération.
   Le directeur, qui semblait s'être ressaisi, reprit un air perdu.
   - L'Empire ? Quoi ?
   L'Amirale retint un soupir. Il ne se passait rien que ce à quoi elle s'était attendue : l'incrédulité. Cela aurait été tellement plus facile avec un officier de Starfleet !
   - J'ai des informations que vous n'avez pas. Croyez-moi sur parole. J'ai besoin que certaines mesures soient prises. Il faut absolument sécuriser toutes les transmissions. De plus, je vais vous faire envoyer par communications subspatiales un programme à télécharger dans l'ordinateur central. J'ai des raisons de penser que l'Empire romulien va essayer d'y introduire un virus informatique particulièrement retors. Par ailleurs, après mon départ, bloquez toutes les téléportation le temps que...
   Le directeur reprenait un peu de son assurance. Il leva la main d'un geste impérieux.
   - Ecoutez, je ne comprends rien à ce que vous racontez. L'Empire romulien ? Une invasion ? Tout cela n'a pas de sens !
   Cette fois, l'Amirale ne prit pas la peine de réprimer un soupir. Elle se pencha vers le directeur. Elle était restée debout, ce qui lui donnait un avantage stratégique.
   - Vous, Monsieur, écoutez-moi. Je sais que nous sommes en paix avec les romuliens. Mais vous savez comme moi que cette paix est fragile et uniquement dictée par les circonstances. Les circonstances ont changé. Ils ont vu une ouverture pour conquérir la Fédération et ils vont s'y engouffrer. Je n'ai pas le temps, ni d'expliquer en détail les raisons profondes de cette attaque, ni d'où je tiens mes informations. Tout ce que je peux vous dire maintenant, c'est que votre station est en première ligne. Il faut agir maintenant. Faites ce que je vous ai demandé. Faites-le immédiatement. Je vous ferai parvenir plus tard d'autres instructions, accompagnées de toutes les explications nécessaires. Alors, le ferez-vous ?
   L'Amirale avait mis dans sa dernière phrase toute l'autorité et la persuasion dont elle était capable. S'il demandait d'autres explications, elle le savait, elle aurait perdu. Car il ne s'arrêterait pas là. Il demanderait des explications à ces explications, et d'autres encore, et encore, et il serait trop tard. Il fallait qu'il obéisse maintenant.
   Le directeur regardait fixement l'Amirale. L'hésitation était visible dans son regard. L'Amirale ne détourna pas le sien. Finalement, il prit une décision. Tout se jouait maintenant.
   - D'accord. Je ferais ce que vous me demandez.
   L'Amirale poussa un grand soupir de soulagement. Cela ne valait pas un "A vos ordres", mais il s'agissait d'un civil, et cela ferait l'affaire. Elle se redressa et fit un pas en arrière.
   - Bien. Merci beaucoup.
   Elle actionna son combadge.
   - Lieutenant Morris, tout va bien. Le directeur a accepté. Transmettez-lui immédiatement les instructions et le programme. Terminé.
   Elle se dirigea vers la porte. Comme elle s'y attendait un peu, des gardes de la sécurité s'y trouvaient, certainement appelés par l'une des secrétaires. Elle leur sourit, d'un sourire un peu crispé.
   - Tout va bien. Enfin, presque. Mais le directeur vous expliquera.
   Elle se retourna une dernière fois vers ce dernier.
   - Et merci encore, vous venez de laisser une chance à la Fédération. Espérons qu'il n'est pas trop tard.
   Elle sortit du bureau et se dirigea vers la salle de téléportation la plus proche. Elle l'avait évitée à l'aller, pour ménager l'effet de surprise, mais cela n'était plus nécessaire. Au contraire, il était urgent de regagner son vaisseau. Elle établit une communication avec celui-ci.
   - Lieutenant Morris, réunion dans quinze minutes avec le capitaine. Je peux enfin lui dire l'objet de notre mission. Réunissez tous les documents.
   Sur le trajet qui la menait vers la salle de téléportation, les regards étaient moins surpris qu'à son premier passage, mais ils étaient plus inquiets. Les nouvelles vont vites sur une base stellaire.

   La salle de téléportation était vide. L'Amirale fronça les sourcils. Mais que se passait-il donc ? Ce n'était pas la procédure. Mais ce n'était pas non plus le moment de s'interroger. Elle entra les coordonnées de son vaisseau et mis en marche le téléporteur. Elle monta ensuite sur le plot de téléportation et appela son vaisseau.
   - Il n'y a personne en salle de téléportation sur la base. Vous avez la main. Energie.
   Rien ne se passa.
   L'Amirale lutta contre un sentiment d'inquiétude.
   - Energie ! répéta-t-elle.
   L'inquiétude devint plus forte. Mais que se passait-il ? La porte s'ouvrit et les deux agents de la sécurité qu'elle avait vus dans le bureau du directeur entrèrent.
   - Energie ! Tout de suite !
   Mais rien ne se passait. Les gardes la regardaient calmement. Mais elle n'était pas dupe. Malgré leurs uniformes, ils n'étaient pas membres de Starfleet.
   - Madame, descendez de là s'il vous plait, et venez avec nous.

* * *

   - Energie ! Téléportez-moi ! Scotty ? Où êtes-vous ?
   L'un des policiers se pencha vers l'autre.
   - Mais qu'est-ce qu'elle raconte, demanda-t-il à mi-voix.
   - Je pense qu'elle se croit dans Star Trek.
   Le premier policier réfléchit. Il n'aimait pas beaucoup la Science-Fiction, mais il connaissait tout de même un peu Star Trek. Il rassembla ses vagues souvenirs et essaya de les faire coller avec cette femme en petite robe rouge debout sur le siège des toilettes.
   - Madame, répéta l'autre policier, descendez. Vous risquez de vous faire mal...
   - Appelez-moi Amirale. Vous n'avez pas le droit de m'empêcher de rejoindre mon vaisseau. Laissez-moi tranquille, vous n'avez pas le droit de me toucher ! Je suis Amirale de Starfleet de la Fédération des Planètes Unies ! Je vous ordonne de me lâcher ! Je vous traînerai en cour martiale !

 

FIN

Géraldine Majere
13/11/05


Date de création : 20/11/2005 @ 19:55
Dernière modification : 20/11/2005 @ 19:55
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Réaction n°32 

par god le 21/07/2014 @ 11:29

James Garner, the understated,

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wisecracking everyman actor who enjoyed multigenerational success o­n both the small and big screens, has died. He was 86. Police, who were called to his residence Saturday night in Los Angeles, say he died of natural causes.

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Garner starred in hit TV series almost 20 years apart -- "Maverick" in the late 1950s and "The Rockford Files" in the 1970s.He also had a notable film career, starring in such classics as "Sayonara" (1957), "The Great Escape" (1963), "The Americanization of Emily" (1964), "Grand Prix" (1966) and "Victor/Victoria" (1982),

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as well as the TV movies "My Name Is Bill W." (1989) and "Barbarians at the Gate" (1993). More recent films included "Space Cowboys" (2000) and "The Notebook" (2004).He was fiercely independent, challenging the studios o­n both "Maverick" and "Rockford" when he felt he wasn't being treated fairly. He sued studios twice and won both times."The industry is like it always has been. It's a bunch of greedy people,"

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he told The Los Angeles Times in 1990.Garner was given a Screen Actors Guild Life Achievement Award in 2004.

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The actors' union head issued a statement about his death Sunday."James Garner was the definition of the smooth, dashing leading man, but his talents were so much more than skin deep," SAG-AFTRA President Ken Howard said. "

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He was a hard worker who dedicated himself wholly to whatever he set out to accomplish, whether it was serving his country or performing for the camera."

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A versatile starHe was a valued and convincing pitchman -- in his 1970s and '80s commercials for Polaroid cameras, he had such good rapport with co-star Mariette Hartley that viewers were convinced they were married -- and was nominated for a slew of awards, including Emmys, Golden Globes, SAG Awards and an Oscar (for 1985's "Murphy's Romance"). His performance in "The Rockford Files" won him an Emmy.He could do serious. His performance in the TV movie "My Name Is Bill W." -- about the founding of Alcoholics Anonymous -- was straightforward and uncompromising.

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He could also show real heartbreak, whether it was cradling fellow escapee Donald Pleasance in "The Great Escape" or talking with Gena Rowlands in "The Notebook."But he was rarely o­ne to blow his own horn."I got into the business to put a roof over my head,"

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he o­nce said. "I wasn't looking for star status. I just wanted to keep working."Humble beginningsJames Scott Bumgarner was born April 7, 1928, in Norman, Oklahoma. His mother died when he was 5 and his father remarried a year later.

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Garner didn't get along with his stepmother and, after a particularly vicious argument,

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left home at 14. His father, who divorced his stepmother, eventually moved to Los Angeles. At 16, Garner followed, attending Hollywood High School and finding a job as a swimsuit model.

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"I made 25 bucks an hour!" he told People magazine. "That's why I quit school. I was making more money than the teachers. I never finished the ninth grade." After joining the Merchant Marine and the National Guard, he served in the Korean War, where he won a Purple Heart.

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After the war, he returned to Los Angeles and took up acting -- for the same reason he started mod

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